Les clients de Swiss Life sont tous différents. Il en va de même de leurs besoins. Trois d’entre eux racontent comment ils ont pu compter sur Swiss Life après un coup du sort ou face à de nouvelles perspectives.
Pour Ulrich Hess, un père de famille de Sarnen, tout a changé du jour au lendemain suite à une intervention médicale. Les limitations physiques se sont soudain accompagnées de questions sur la protection financière. Franck Maisonnave, de Paris, voulait depuis longtemps quitter son emploi bien payé pour s’installer à son compte. Après avoir trouvé une idée commerciale avec un ami, il lui a manqué un partenaire financier. Doris Neumair a quant à elle perdu l’amour de sa vie alors qu’elle était à l’autre bout du monde, se retrouvant seule, avec ses deux enfants, dans un pays étranger.
Ces situations et ces personnes sont toutes différentes, et pourtant, elles ont toutes un point commun: ces clients ont bénéficié du soutien de Swiss Life dans un moment déterminant de leur et ainsi regagné leur liberté de choix.
«Lorsque je me suis réveillé, je ne pouvais plus bouger»
Une opération aux conséquences inattendues a bouleversé la vie d’Ulrich Hess. Grâce à sa volonté de fer et à l’immense soutien de sa famille, ce père de famille a repris goût à la vie. Il ne pourra plus jamais travailler à temps plein. Pourtant il n’a pas perdu sa confiance financière, en partie grâce à Swiss Life.
«Dès que j’ai su, j’ai paniqué»
En 2016, la famille Neumair part pour Dubaï suite à une mutation du père. Mais quelques semaines après leur arrivée, Peter Neumair décède de façon inattendue. Sa femme Doris se retrouve soudain seule avec leurs deux enfants. Après ce coup du sort, la famille bénéficie d’un grand soutien de son entourage – mais aussi de Swiss Life.
«Aujourd’hui je me sens pleinement libre de mes choix»
Franck Maisonnave a longtemps travaillé comme opérateur sur les marchés de taux obligataires. Insatisfait, il abandonne la finance en 2016 et entame une reconversion radicale. Ce client de Swiss Life décide alors de se tourner vers l’entreprenariat, en choisissant la restauration. Trois ans plus tard, il a déjà créé trois restaurants à Paris, avec le soutien financier de Swiss Life.
